C'est bien beau d'avoir un jardin, encore faut-il en profiter

Pondu le 30 avril 2009 - 5 commentaires

Un mobilier de jardin

Mobilier de jardin d'inspiration rurale

La semaine dernière (du 20 au 26 avril donc), j’étais en congés (ainsi qu’Albane). Dame Nature dans son infinie bonté nous avait gratifié d’une météo plus que clémente à notre endroit1, le soleil brillait cui cui les p’tits zoziaux.

Albane et moi sommes donc partis en quête d’un mobilier de jardin. Et là mesdames et messieurs, y a du lourd. Pour vous aider à résoudre éventuellement le même dilemme, voici un petit guide des différents mobiliers possibles :

– La table et les chaises en marbre serties de diamants et signées d’un grand nom de la sculpture : A oublier tout de suite si vous ne payez pas d’impôts sur la fortune ou que vous habitez en Suisse pour fuir l’impôt en question. En effet, la chaise en marbre c’est pas très confortable et il faut donc acheter des coussins brodés à la main par un grand couturier. Ce qui va chercher dans les 5000€ du repose-fesses. Et encore, à ce prix ne vous attendez pas à pouvoir péter dessus, ça reste de la haute couture et c’est donc peu pratique pour un usage courant. Si on enlève les coussins pour l’hiver, l’entretien reste minime. De toute façon ne comptez pas déplacer cette table et ces chaises sans l’aide d’une grue.

– La table et les chaises en bois du Groënland, le bois que tu peux pas trouver plus exotique que lui dans le monde. Résistant à l’eau, aux tempêtes, à la neige, aux ours polaires ainsi qu’au soleil, aux chameaux et aux températures caniculaires. Ce bois aux propriétés improbables a été découvert par les employés de Garnier alors qu’ils cherchaient un nouveau composant naturel à mettre dans leurs champoings (Pour la petite histoire, ils ont préféré à la sève de bois du Groënland un extrait de jus de moine tibétain). L’inconvénient majeur est qu’il faut environ 3 reins pour se payer un tel mobilier, ce qui vous obligera à sacrifier le projet d’achat d’une nouvelle télé 192cm de diagonale en hyper HD à 430Hz. Aucun entretien à faire sur ce bois, il vous survivra de huit bons siècles au moins.

– Le mobilier en Teck. Joli, élégant, en fait je n’ai aucun autre renseignement sur ce type de mobilier. Mais vu sa popularité, je ne pense pas que son entretien exige le sacrifice d’une vierge ou l’emploi de résine de phacochère. Non disponible pour les pauvres et les bourses modestes.

– Le bon vieux plastique des familles. Disponible en vert foncé ou blanc, ce mobilier a fait la fierté des classes ouvrières et moyennes depuis une bonne trentaine d’années. Ce type de mobilier n’est pas très fan des grands froids, et on murmure le soir au coin du feu que lui enfiler une housse de protection lorsqu’on ne s’en sert pas n’est pas forcément un gage de superficialité.

– Le mobilier en carton : fréquemment employé dans les bidonvilles, ce type de mobilier est très personnalisable. Il supporte en revanche difficilement la pluie et les assauts du temps. Et si vous renversez votre verre dessus, il faut changer toute la table. Et enfin, ne vous attendez pas à trouver des chaises en carton dans le commerce pour les assortir à la table, mais vous pouvez toujours en faire vous-même à condition de ne pas oublier de mettre quelque chose dans le carton (ou de peser moins de 10kg).

Nous avons pour notre part opté pour le plastique car il est fantastique2, en version 6 places normales/12 compressées (une place compressée étant de la superficie disponible pour votre corps lors de l’utilisation d’un métro à l’heure de pointe). Soit une table verte à l’aspect robuste et 6 chaises, le tout pour une centaine d’euros (65€ de table et 6×6€ de chaises). Pour le prix, on a même acheté un barbecue avec une clarté de montage dans la notice inversement proportionnelle au nombre de vis fournies pour monter le-dit barbecue. Mais j’ai triomphé quand même, ne faisant pas tâche à ma réputation de super-monteur de meubles ikéa.

Evidemment le jour où on a voulu se servir de tout ça il a flotté toute la journée. Maudite Dame Nature…


  1. Dans le cadre de la lutte active contre l’appauvrissement de la langue française, l’expression du jour est : « A votre endroit », ce qui est l’équivalent désué de « envers vous ». Cette note de bas de page à l’encontre des bas de plafond était sponsorisée par le ministère de la culture, si toutefois celui-ci n’a pas changé de nom ou de fonction entre-temps. 

  2. Le premier qui dit que c’est parce qu’on n’avait pas les moyens d’acheter du teck aura raison, le bougre. 

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La crise énergétique touche aussi les rois

Pondu le 30 septembre 2008 - 5 commentaires

Chambord, un château qu'il est beau

Peu de chambordements dans cette facade

Il fut une époque où on pouvait gaspiller sans vergogne en chauffage. Les châteaux de la Loire en sont une excellente démonstration. Et si je vous en parle, c’est que nous sommes allé visiter le château de Chambord lors des journées du Patrimoine où pas mal de trucs sont ouverts à la visite gratis, mais pas le château qui lui reste payant.

Le château de Chambord évoque bien sûr le début de la Renaissance, la classe, la majesté et le grandiose. Et de fait, cette réputation est méritée.

Resituons le contexte : Louis XII, qui rentrera dans les mémoires pour sa formidable méthode de comptage des huîtres et des oeufs1, n’a pas d’enfants. Il tente bien à un moment de conclure avec la femme de chambre, mais il s’avère que celle-ci n’est pas super d’accord et elle ira tout fayoter à la femme du roi qui collera à son souverain de mari deux claques derrière les oreilles en le traitant de crétin.

Du coup Louis XII n’aura point de descendance et devra donc se rabattre sur un obscur fils de cousin germain, un petit crétin arrogant du nom de François. Celui-ci accèdera enfin au trône en 1515 et épatera les manants avec des figures à cheval malgré les avertissements répétés de sa mère, qui sait de quoi elle parle puisque le petit con aura failli mourir d’un accident de cheval quelques années auparavant. François 1er trouve particulièrement cool la culture italienne de l’époque. Et puis il adore les grosses baraques. Il demande donc un beau matin en sortant de son bain à voir ses architectes, et il leur tient à peu près ce langage : « Les gars, j’ai un p’tit bout de terrain vers Chambord  là, un gros champ à vache sur lequel je voudrais me faire faire une petite bicoque. Un truc léger hein, pas plus de 400 pièces. Allez zou, exécution ! ».

Les architectes se mirent au boulot. Sauf qu’à l’époque les normes d’isolation étaient largement plus laxistes que maintenant, du coup les maîtres d’oeuvre grugèrent largement pour se faire une plus grosse marge. Ce qui fait que le château de Chambord est un gouffre à chauffage. Et avec 282 cheminées pour chauffer les 426 pièces, il en faut du combustible. Ca tombe bien, puisqu’à l’époque est lancé un grand jeu un peu partout en Europe : la chasse aux sorcières. On estime donc que pour sauvegarder les forêts alentours, on a fait brûler pas moins de 200 à 300 sorcières dans les cheminées du château. Vous allez me dire que les cris des pauvresses devaient être assez désagréables et troublaient les festivités royales, mais il faut quand même savoir que la télévision n’arrivait pas jusqu’à Chambord à cette époque. Aussi les bûchers étaient-ils très suivis le soir au coin du feu.

Divers rois oubliés depuis habitèrent le château après la mort de François 1er qui n’y résida que peu de fois, trouvant finalement que les voisins étaient des gueux abrutis et trop pauvres pour qu’on songe sérieusement à leur adresser la parole. Un certain Louis XIV notamment s’y rendit régulièrement quand il voulait faire des avances aux artistes. Un dénommé Molières y fit ainsi sa première représentation du Bourgeois Gentilhomme mais refusa de céder aux avances du roi qui avait une hygiène corporelle décidément trop douteuse.

Quant à nous, nous n’avons vu aucun roitelet mais on a bien mangé au petit resto juste à côté du château. Les photos sont accessibles ici :Photos de Chambord


  1. En effet, à l’époque on ne mettait pas ces denrées par douzaines mais par cent-quatre-vint-treizaines, ce qui était fort compliqué. 

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Périple en Espagne (2ème partie)

Pondu le 28 août 2008 - 7 commentaires

J’aime la bouffe. Ce qui provoque parfois des effets secondaires comme une prise de poids non-désirée. J’ai la chance de partager mon quotidien avec une fille qui cuisine très bien, ce qui est un avantage non-négligeable. Enfin elle cuisine certes très bien, mais à la va-comme-j’te-pousse. Pour elle, une coquille d’oeuf est un accident négligeable (et négligé d’ailleurs) dans la prépaparation d’un plat. Et ce même si cette coquille fait la taille d’une carte SIM de téléphone portable1. Il était temps que le monde sache à quel point je vis un enfer culinaire2.

Celà nous amène donc à la suite de notre escapade espagnole, grâce à un rapport transitif entre les deux sujets d’une opacité semblable à celle de la comptabilité d’un pizzaiolo maffieux.

Nous en étions arrivé au voisinage de notre bungalow. Bonne surprise, c’est que des français. Voilà qui va faciliter les « Bonjour, bon appétit, bonsoir ». Deuxième surprise, sur 6 voisins, on trouve 5 couples homos. ce qui fait que je n’ai même pas pu mater d’hypothétiques voisines en sous-vêtements ou bikini. En effet, il semble que Sitges soit une station balnéaire à forte attractivité pour la communauté homosexuelle. Ce qui fait qu’en se promenant dans la ville, on trouve une parfaite répartition (à 0,002% près) d’un tiers de couples hétéros, un tiers de couples homos, un tiers de familles classiques avec marmots inclus, et un tiers de gens qui ne savent pas compter.

Ce voisinage particulier donc m’a permis de vivre ma première expérience d’hétérophobie, nos voisins nous ignorant superbement pour ne parler qu’aux gens ayant les mêmes attirances sexuelles. Bon ça permet au moins de comprendre ce que eux peuvent ressentir quand ils se retrouvent au milieu de bouseux hétéros, mais ça confirme mon idée que le clivage homo/hétéro n’est pas seulement dû à nous, cruelles gens3 qui aimons le sexe opposé au nôtre.

Mais nous avions aussi de plus petits voisins, des quadrupèdes poilus communément appelés chats. En effet, la nuit tombée des hordes de chats errants sortaient d’on ne sait où pour se nourrir. Le camping avait accroché plein de panneaux mettant en garde les parents contre la voracité des chats, mais on a quand même retrouvé plusieurs cadavres d’enfants et de petits vieux déchiquetés par ces félins vicieux. Au début Albane et moi nous dormions en haut du placard, puis nous avons vite constaté que notre forte odeur corporelle naturelle suffisait à les faire fuire. Par prudence, Miss Albane « SPA » a quand même tenu à leur acheter un sac de croquettes espagnoles contenant probablement des restes de touristes morts, et leur a offert chaque matin et chaque soir une assiette en offrande. J’ai pour ma part essayé de les supplier pour qu’ils aillent bouffer les voisins d’à côté qui avaient une superbe Nissan 350Z décapotable, mais ces crétins de chats n’ont rien compris et ont mangé le type qui ramassait les ordures le matin.

La suite de ce passionnant récit nous emmènera à priori vers Barcelone. Enfin je crois.


  1. Je suis désolé de vous infliger une comparaison avec un élément technique que sans doute personne n’a vu plus de deux fois dans sa vie, mais c’est le seul objet un tant soit peu commun qui soit à la bonne taille que j’ai trouvé. 

  2. Lequel enfer culinaire ne va pas aller en s’arrangeant lorsqu’Albane aura lu cette note. Je t’aime ma chérie. 

  3. J’avais mis cruels gens à l’origine, mais un avocat passant par là m’a corrigé dans ce commentaire. Ensemble, applaudissons-le. 

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Périple en Espagne

Pondu le 25 août 2008 - 6 commentaires

Je reprends le boulot aujourd’hui. Comme j’adore mon taf je suis assez peu contrarié de reprendre, en revanche revenir aux horaires complètement indécents de réveil me chagrine un peu, sans compter que ma source principale d’emmerdement nocturne était complètement déchaînée cette nuit (je veux bien sûr parler de Bigorneau le chat et non d’Albane). Ce stupide félin s’amuse à faire des bonds énormes pour venir attaquer mes pieds et me mordiller ensuite les orteils à travers la couette comme s’il s’agissait de saucisses cocktail.

Mais surtout je n’ai toujours pas raconté mes vacances en Espagne, un pays situé au sud de notre beau pays, et qui se distingue surtout par sa capacité à ignorer qu’il a une frontière commune avec la France.

Dimanche matin, 6h 7h trop tôt, après un réveil qu’on imagine plein d’entrain mais qui a en fait été à l’image de nos paupières assez lourd, mise en route du GPS, de la DricMobile et d’Albane. On peut partir, on a rien oublié.

Le trajet a duré 10 heures (pour 850km), surtout parce qu’on aime bien faire plein de pauses et que de toute façon on ne fait pas partie des gens pour qui perdre 10 minutes sur leur temps de trajet représente un sacrifice semblable à se faire enlever un poumon sans anésthésie.

Bien évidemment, au fur et à mesure que nous approchions du but, la température de l’air s’est élevée progressivement pour atteindre les 120°C à l’ombre de la DricMobile. Bien que celle-ci ait la climatisation, je préfère ne pas trop l’utiliser car elle n’a pas été refaite depuis 5 ans au moins et que je préfère encore avoir une clim qui pourrait marcher qu’une clim qui ne marchera plus jamais.

J’avais toujours pensé qu’en France nous étions les champions du péage autoroutier, mais en fait c’est presque pire en Espagne. Les prix au final sont peut-être un peu moins élevés, mais il y a beaucoup plus de péages (dont plusieurs à environ 2€). On a compté, il y en a à peu près 12 tous les 3kms, ce qui fait plus de péages le long des routes que de serveurs aimables dans la totalité des bars de Paris (et en même temps c’est pas super difficile de faire mieux).

Finalement le GPS nous a largué royalement à l’entrée du patelin d’arrivée (Sitges), alors que je lui avais bien stipulé de me conduire jusqu’au croisement le plus proche du camping. Après une recherche sur la carte de l’office de tourisme (fermé, évidemment) en compagnie d’autres français étant eux aussi équipé d’un GPS taquin, nous sommes finalement arrivé dans un camping dont les emplacements étaient tellement réduits que beaucoup de campeurs en tente avaient monté celle-ci sur la caravane du campeur d’à côté. Nous nous en foutions, de toute façon nous étions en bungalow. Les formalités pour pouvoir s’installer ont été réduites au minimum, heureusement que la fille à l’accueil parlait français sinon on serait encore à expliquer que non, nous ne sommes pas des vendeurs d’aspirateurs de table mais bien d’innocents touristes venus se détendre dans le pays voisin du nôtre.

Pour finir, on nous présenté notre bungalow qui était une petite cabane en bois fort sympathique, équipée d’un frigo très moyennement refroidissant mais qui en revanche dégageait beaucoup de chaleur1. Le bungalow comprenait de la saleté, un lit me permettant de faire dépasser largement mes pieds et obligeant à une promiscuité rapprochée avec ma voisine de chambrée (ce qui n’était pas désagréabe, sauf quand celle-ci avait la bonne idée de passer en mode « chauffage volcanique de la mort »), deux plaques au gaz (bien vu) dont une seule fonctionnait (moins bien vu), un ventilo qui fut notre meilleur ami tout le long du séjour et une petite terrasse très sympa.

Qand au voisinage, je vous en causerai une autre fois. A suivre donc…


Note : Tout au long du récit de ce périple, vous constaterez l’étendue de ma mauvaise foi et de ma forte propension à la râlerie si chère au caractère gaulois.  Malgré les cataclysmes qui vont se déverser sur nous dans les récits suivants, nous avons cependant passé de bonnes vacances, même si nous avons été légèrement déçus par rapport à nos attentes. Voilà qui est dit, et bien dit.


  1. Pour pouvoir refroidir à l’intérieur, les réfrigérateurs doivent en fait évacuer de la chaleur à l’extérieur. Lisez-donc ce lien qui vous permettra de vous ouvrir aux merveilles de la connaissance insoupçonnée de notre habitat moderne : réfrigérateur sur wikipédia

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J'ai jamais aimé la trigonométrie

Pondu le 28 juillet 2008 - 2 commentaires

Nous partons en Espagne dans une semaine, et comme vous le savez je ne parle pas un traître mot d’espagnol. Aussi je demande officiellement à tous les habitants de ce pays qui croiseront ma route d’avoir le miminum de correction requis, et d’être ainsi capable de comprendre le français afin que je ne sois pas gêné pendant mon séjour parmi eux.

Une autre coutume étrange de ce pays, à part le fait de ne pas parler français, c’est que chaque véhicule doit être équipé non pas d’un mais de deux triangles de signalisation. Alors pourquoi deux, on ne sait pas trop. Mais comme après tout on a deux yeux, deux oreilles, deux fesses et même deux testicules pour les gens atteints d’un chromosome Y, pourquoi pas deux triangles ? (Il paraît que c’est pour en disposer un devant la voiture, et l’autre derrière. Il paraît aussi qu’en Laponie on doit avoir 12 triangles pour diposer en cercle en cas de panne de renne.).

Alors c’est probalement très pratique, sauf qu’en France ils ont eu la bonne idée d’imposer une réglementation similaire, et qu’il devient plus difficiledans notre beau pays de se procurer un triangle que de la cocaïne1. Pourquoi cette pénurie, alors qu’un triangle c’est tout con à fabriquer, que les gens étaient au courant quand même nettement avant et que donc les fabriquants devaient bien se douter qu’il y aurait une énoooorme demande ?

Evidemment j’ai une théorie là-dessus, que je vais vous exposer si vous vous tenez tranquille. Oui au fond je vous vois, depuis tout à l’heure vous vous curez le nez avec conviction et il serait peut-être temps d’utiliser un mouchoir au lieu de coller le résultats de vos fouilles sous le bureau.

Bon, où en étais-je ?  Ah oui, les triangles. J’avais une théorie là-dessus mais avec toutes les singeries de notre aventurier en cavité nasale je ne m’en souviens plus…

En tout cas, la rareté de ces figures géométriques est un réel problème, et ça nous frappe en plein dans ce salaud de pouvoir d’achat. J’espère que l’INSEE en tiendra compte dans ses prochaines statistiques car c’est quand même un élément de base pour tout foyer possédant un véhicule. Le prix des rares triangles disponibles est exhorbitant, et même la vente d’un rein ou d’un de vos rejetons ne suffira pas à vous permettre d’en acquérir un. Aux dernières nouvelles toutes les déclinaisons de cette forme géométriques seraient en rupture de stock. Les élèves à la rentrée prochaine pourraient bien ne jamais pouvoir étudier les triangles faute de moyens suffisants de l’Education Nationale pour en acheter.

Karl Lagerfeld n'est pas sur cette image, il a été remplacé par Pedrito Cordigno, émigré porto-ricain

Karl Lagerfeld n'est pas sur cette image, il a été remplacé par Pedrito Cordigno, émigré porto-ricain


  1. Amis toxicos, n’essayer pas de vous faire un shoot au triangle de signalisation, vous auriez l’air ridicule et vous seriez probablement très déçus… 

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